Événements
Thématiques

NEO et Le Parapluie de Cherbourg s’associent et lancent un parapluie innovant en tissu de parapente

Publié le  29/01/2024
Jacques-Olivier Gasly
Dans une démarche alliant innovation et tradition, NEO, reconnue pour ses textiles haut de gamme dans le parapente et l'outdoor, s'associe à la Manufacture Le Parapluie de Cherbourg, figure emblématique de l'artisanat français. Cette collaboration est l'aboutissement d'une synergie entre le savoir-faire technique de NEO et l'excellence artisanale du Parapluie de Cherbourg.

NEO, depuis sa création en 2013 par Eric Roussel, s’engage dans une fabrication locale et responsable, produisant des sacs à dos techniques reconnus pour leur qualité et leur durabilité. Cette expertise se retrouve dans le parapluie « Dyneema », fruit de la collaboration entre Neo et Le Parapluie de Cherbourg. Pour la première fois, un parapluie intègre le tissu Dyneema Teppanyaki, connu pour sa résistance exceptionnelle – 15 fois plus que l’acier – et une légèreté surpassant le Kevlar, offrant ainsi un produit à la fois robuste, léger et durable.

NEO, maître de l’innovation textile pour le parapente et l’outdoor depuis 2013, s’engage pour une production responsable à Annecy, offrant confort et durabilité. De son côté, Le Parapluie de Cherbourg perpétue depuis plus de 30 ans un savoir-faire français en créant des parapluies alliant tradition et modernité, reconnus pour leur élégance et leur résistance.

Le modèle phare de cette collaboration, Le Voyageur, rétractable et automatique, est conçu pour offrir confort et praticité, se repliant aisément pour un transport facilité dans les sacs à dos NEO. Chaque parapluie est fabriqué à la main dans la manufacture de Cherbourg, garantissant une qualité et une finition irréprochables.

Cette collaboration illustre l’engagement des deux marques pour l’innovation, la qualité, et le respect de l’environnement, renforçant ainsi leur positionnement sur le marché des accessoires outdoor durable.

Source : Communiqué Le Parapluie de Cherbourg

Par  Jacques-Olivier Gasly