Sénalia intègre le réseau ECOSYSTEM CLÉON 4.0
Créé en 2017, l’ECOSYSTEM CLÉON 4.0 est né de la volonté de grands donneurs d’ordres de la région métropolitaine rouennaise de s’investir au cœur du territoire avec les PME locales. La CCI Rouen Métropole, chargée d’animer ce groupement, joue le rôle de « catalyseur » en fédérant tous les acteurs (grandes entreprises, PME, start-up, filières, élus, écoles) qui veulent contribuer à cet écosystème vertueux et en permettant aux entreprises locales de divers secteurs d’activité, d’amorcer des relations d’affaires avec ces grandes entreprises. Le réseau compte aujourd’hui 130 entreprises dont 28 donneurs d’ordres.
« Dans notre quotidien, nous accompagnons nos clients dans leur développement en leur proposant des solutions logistiques sur mesure, que ce soit dans les secteurs de la logistique portuaire, les vracs agro-industriels ou encore l’entreposage », détaille Gilles Kindelberger, directeur général de Sénalia qui, avec ses 5,5 millions de tonnes exportées depuis le port de Rouen, contribue à 50 % des activités céréalières export de la place normande et 25 % des exportations céréalières françaises.
Une entreprise qui a réalisé cette année un chiffre d’affaires de 39 millions d’euros et dont la valeur maîtresse reste celle de l’humain. « Aujourd’hui nous comptons 170 collaborateurs et nous allons prochainement passer à 240 pour suivre la progression de nos activités. Mais pour grandir soi-même, il faut savoir faire grandir les autres ! Raison pour laquelle nous investissons chaque année 2,6 % de notre masse salariale dans la formation de nos collaborateurs. Nous avons ainsi noué de nombreux partenariats sur notre territoire : l’IFA Marcel-Sauvage, Neoma, dont nous accueillons dans nos locaux les jeunes start-ups, ou encore l’Institut Catholique de Paris qui s’installe à Rouen et auprès de qui nous finançons 16 bourses d’études de 3 ans, pour des jeunes qui n’en ont pas les moyens », souligne le directeur.
Une approche humaniste que Sénalia applique également au monde des affaires et qui est pour beaucoup dans son choix d’adhérer à l’ECOSYSTEM CLÉON 4.0. « Quand deux personnes échangent entre elles, elles repartent avec deux idées. A mes yeux c’est un moyen de s’enrichir, pas toujours financièrement, mais au moins intellectuellement. Et dans une chaîne de valeur où l’on peut s’entraider, il devient plus facile de grandir en symbiose. Et c’est pour moi le plus important : grandir ensemble l’un au profit de l’autre. Et c’est cette idée que je me fais de cet écosystème qui nous permettra ainsi de conforter notre engagement en faveur du développement du territoire », assure Gilles Kindelberger.
